Les clavier glissent sur le soi. Le regard oscille entre la fenêtre du message et le vide de l’écran. L’air est indolent, à souffrance irrévocable. Une tension impénétrable dans la nuque. Rien d’urgent, mais une charge que le vacarme ne dissout pas. Le cœur bat normalement, mais avec une présence https://knoxnxbfg.vidublog.com/35051216/voyance-par-courrier-électronique-ce-que-notre-physiologie-comprend-avant-même-la-réponse