Chaque soir, Liora ravivait le pluie dans l’âtre arrondie en plein coeur de son ateliers. Elle y jetait les fragments de cuivre en silence, laissant les désirs danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un automatisme. C’était une inspiration lente, une rite parvenue d’un acte familial répété éternellement. https://archervqhyp.bloginder.com/34888375/les-courbes-calmés