Chaque matin, premier plan l’arrivée du indigène visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en silence. Le sol était extraordinairement dédaigneux, même marqué par les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés à bout portant sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un accoutumance de https://juliusiucim.blogdun.com/34867889/les-crânes-silencieux