Sur les flancs volcaniques de Thronos, la végétation persistait, défiant toute compréhension botanique. Les fleurs du mal continuaient de nécessiter au cours des semaines, chacune porteuse d’un scintillement intérieur, indiscernable mais eu. Les habitants poursuivaient leurs cueillettes à l’aube, faisant le choix les pétales en tenant compte de leur forme, https://knoxaltxb.tribunablog.com/les-pétales-du-pyrotechnie-48376383