La gare était plongée dans une brume dense, un banne épais qui absorbait les sons et les lumières artificielles du quai. L’horloge suspendue au-dessus de la passerelle indiquait minuit, l’heure juste du départ du train. Le passager se tenait ferme, suivant l’immense matériel d’acier ténébreux qui sifflait doucement, prête à https://trevornpnlh.timeblog.net/69695320/les-ombrages-du-aria