La nuit enveloppait Babylone d’un silence dense, uniquement géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait devant le bassin, son regard plongé dans l’eau sombre où la oeil semblait mettre. Ce qu’il avait vu la veille n’était pas une illustration. Une cadence inconnue https://pendule-voyance-immediate96395.blogacep.com/39101046/les-traces-du-sort