Le manoir se dressait, soumettant, au beau milieu des vestiges d’un parc à l’abandon. Entre les arbres tordus par le vent et les routes envahies par les ronces, une constitution de verre et métallique résistait encore au années : une serre oubliée, secrète en arrière un mur de végétation sauvage. https://riverjoqon.myparisblog.com/34328229/les-traces-figées