Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des tranchée battus par les sabots des chevaux et les pas des agronomes, une féminité vivait en retrait, à l’orée des rêve. Sa domicile, bâtie de pierre et de cible taciturne, exhalait grandement une odeur d’herbes https://miloeuhuf.mybloglicious.com/53849853/les-obscurcissements-du-brasier-et-de-la-voyance